L’assurance-vie classique est essentiellement un produit d’épargne. Les polices d’assurance-vie ont généralement une durée de 15, 20 ou 30 ans. En raison de la période de temps, les intérêts peuvent entraîner un avantage considérable pour les assurés. Plus de détails.
Le taux d’intérêt garanti
L’un des éléments centraux d’une assurance-vie classique est le taux d’intérêt garanti. Pour souscrire une assurance, visitez le site web. Il est obligatoirement inclus dans chaque contrat et ne sera pas modifié jusqu’à son expiration. Ainsi, le client sait déjà le premier jour, le montant qu’il percevra de son assurance. Le taux d’intérêt garanti est basé sur un taux maximal. En outre, le taux d’intérêt actuariel est souvent déterminé par le ministère des Finances. Ce taux est lié à l’évolution générale des taux d’intérêt. Depuis le pic du milieu des années quatre-vingt-dix, il a progressivement diminué et flotte autour de 0,9 %. Toutefois, le taux d’intérêt garanti ne s’applique qu’à la partie épargne. Il s’agit de la contribution après déduction des frais fixes. Ceux-ci sont en particulier la commission de clôture, les frais administratifs et les coûts de la prestation de décès.
Les commissions des assureurs
À titre de commission de clôture, l’assureur peut déduire un maximum de 2,5 % du montant total au cours des cinq premières années. De plus, des frais administratifs sont engagés par année. Cependant, chaque compagnie d’assurance détermine elle-même le montant de commissions. Certaines facturent 1 %, d’autres 5 %. La question est de savoir si le taux d’intérêt garanti d’une assurance-vie est rentable et dépend toujours de l’offre contractuelle concrète.
L’excédent final et le bonus
En outre, ce que l’on appelle l’excédent final est calculé annuellement. Il s’agit d’un tampon établi par l’assureur pendant la durée du contrat. Le bonus est variable et est redéfini chaque année par les compagnies d’assurance. Toutefois, les engagements d’investissement de l’année précédente sont contraignants et ne peuvent pas être modifiés rétroactivement. Cependant, il se peut qu’un assureur ne génère théoriquement pas d’excédent pendant plusieurs années en cas de mauvaise situation économique.